dimanche 13 novembre 2016

L'oiseau liberté




Alors que le papier soit le champ de bataille...





Voilà un an déjà que le bruit des balles et les cris vinrent interrompre musiques, repas et rires entre amis. Un an déjà que nous vivons dans cette peur, quasi quotidienne, de revoir ces scènes d'horreur resurgir droit des enfers tel l'hydre de Lerne dont les têtes repoussent sans cesse... Face à cette violence indicible, Saez nous livre cette semaine un manifeste plein d'espoir. Tel Candide répondant à Pangloss, Saez nous invite "à cultiver notre jardin"... Cultiver un jardin secret que nous portons tous en nous...opposant les lettres aux maux, l'art aux armes et l'optimisme à l'obscurité. Un manifeste où on le voit, à la manière d'un Chaplin désorienté, plantant des fleurs dans le sable stérile d'un bord de mer. 





3 ans après son album Miami, le chanteur de "jeune et con" revient, surprenant, alors qu'on le croyait perdu dans les méandres d'un chagrin noyé dans l'alcool et la dépression. Méconnaissable, il apparait plus mince, plus apaisé...Un poète écorché qui resurgit, plein de force, à un moment où le manque d'espoir est à son paroxysme...où la liberté semble ébranlée. En 2002 et en 2007, il brandissait déjà ses chansons "Fils de France" et "jeunesse lève toi" comme un rempart face aux dérives anti-libertaires de certains mouvements politiques. Animé par Barbara et Brel, il écrit en 2008 et en moins deux semaines son album Varsovie, Paris, Alhambra, consumé par une rupture amoureuse... Réveillant ainsi le mythe de l'artiste torturé qui se nourrit des heures sombres, refusant que les âmes s'éteignent, Saez revient ici avec deux chansons hommages aux victimes de la barbarie. Comme si la souffrance sans le savoir faisait naître les armes qui la détruiront.

Dans sa chanson "Tous les gamins du monde", le chanteur nous livre une ode optimiste opposant la lumière à la tyrannie. Je sais que chacun d'entre vous n'a plus envie d'entendre parler de ces sinistres heures...et que la télé vous a suffisamment rabattu les oreilles et brulé la rétine avec ses images indécentes. Mais aujourd'hui Damien veut nous montrer que ce n'est pas en opposant de la violence, de la colère, que nous parviendrons à combattre ces idées et les actes qui en découlent. Ils veut nous voir rassembler et non nous déchirer. La haine nourrit la haine et n'en triomphe pas. Il se positionne autrement, nous montrant une voie que nous pressentons déjà pour la plupart d'entre nous: celle de la vie, de la joie et de l'amour alors que beaucoup d'artistes se contente de pleurer nos frères, comme Renaud dans son titre "hypercacher". Dans son manifeste Saez dépasse ça. Il va plus loin, nous parle d'amour plus que de mort. De liberté plus que de vie.... de grandeur. Grandeur des temps passés qu'il souhaite voir revenir. Car il dépeint aussi un sombre tableau. Celui de nos enfants malades d'une société cherchant ses marques, gavés d'Iphones et d'autres tablettes...Enfants qui "ne savent même plus lire" et qui seront pourtant notre avenir. Il est temps de changer dit-il. Temps de "redevenir". "Tant que dessineront tous les gamins du monde, ton nom sur les arbres et puis parfois de Joconde" Quel message!

Avec son manifeste, Damien reviendra pour une tournée commençant au Bataclan dès le mois de Décembre 2016 pour mettre en scène bien plus qu'un concert. Une sorte d'art nouveau, complet...mêlant poésie, musique, photographie, éléments cinématographiques...L'artiste restant flou, nous découvrirons au fur et à mesure des actes du manifeste ce que celui-ci nous livrera. Un album "L'oiseau liberté" sortira le 9 décembre et pour l'instant, vous pouvez découvrir les deux dernières chansons de Saez sur son site http://www.culturecontreculture.fr/ en téléchargement gratuit.




"Un trait pour mettre un peu de couleur à nos cœurs"
Pour dessiner des jours prochains des jours meilleurs
Et si c’est un crayon oui contre la Mitraille
Alors que le papier soit le champ de bataille" (Saez)








samedi 18 janvier 2014

Rêve ou réalité?

Christopher Nolan, dans son film Inception, nous abandonne en plein questionnement, lors de la dernière séquence avec Cobb....La toupie va t-elle s'arrêter ou pas? Rêve ou réalité? Un fan (le type a regardé quelques 26 fois ce chef d'oeuvre de science fiction) a enfin décrypté la fin du film.  La vérité en vidéo:





Pensez à profiter de la musique ;) 
Bravo à Hans Zimmer



jeudi 10 octobre 2013

Les commentaires sont actifs...

... à vous de jouer ;)




Musique Maestro!



Pris dans une sorte de maelstrom médiatique, Stromae semble bien avoir le vent en poupe depuis ses deux derniers succès "Formidable"et "Papaoutai"... Impossible en effet d'être passé au travers de ses deux tubes, tant ils étaient sur les lèvres de chacun cet été. Pas étonnant que ce jeune belge de 28 ans arbore ce sourire si bien assorti à ses tenues aux couleurs acidulées lors de chacunes de ses sorties médiatiques.

Après avoir défrayé la chronique en 2010 avec son titre "Alors on danse", Paul Van Haver, de son vrai nom, revient en sautillant, plus en forme que jamais, avec un album intitulé "Racine Carré". Suite à une première écoute plutôt perplexe, je dois dire que je suis ressorti agréablement surpris de cette expérience. Loin des musiques commerciales qu'on était en droit d'attendre, le maestro nous prend à contre pied, voire à rebrousse poil avec les treize titres qu'il a écrits et composés. Nous avons affaire ici à d'extraordinaires grands écarts musicaux... Inédit!

Il revet dans "Formidable" et "Sommeil" la sensibilité, le phrasé et l'impudeur de Brel, passe de l'électro à la coladeira avec une efficacité et une facilité déconcertantes dans Césaria Evora (titre où il rend un hommage émouvant à la célèbre chanteuse cap verdienne), détourne Bizet pour mettre en avant une critique acerbe des réseaux sociaux, nous parle du cancer en s'adressant à lui comme à une personne et enfin dénonce les dérives de nos modes de vie dans AVF et Batard. Quel programme!




Ce génie belge nous donne ici une leçon magistrale, nous montrant que peu importe les paroles, les rythmes, les notes...il parvient à chaque fois à nous toucher au coeur et à faire passer des émotions. Stromae vise juste et nous passons de la joie à la tristesse aussi facilement que lui concocte ses petites musiques dont il a le secret. Des airs simples, parfois grossiers et manquants de finesse, mais qui sans aucun doute fonctionnent!

Qui aurait cru entendre ce genre de paroles sur de la musique électro? Qui s'attendait à des paroles si introspectives? Dans Papaoutai par exemple, le chanteur nous parle de l'absence de son père mort lors du génocide rwandais... D'ailleurs lors d'une interview Stromae répond de façon étonnante à la question: " Le casting d'un diner idéal? Batman, Evora Cesaria, ibrahim ferrer et mon père" Touchant, tout comme ce dernier album.






Voici pour finir de vous convaincre de faire le voyage, quelques phrases marquantes de son album livrées pèle-mèle :

-Cultrice ou patéticienne
Féministe ou la ferme

-Ave Cesaria, chapeau pour la route à pieds Nue est, et nue était,
Diva aux pieds nus, restera Et à vie Cesaria, et à la mort aussi

-Et c’est comme ça qu’on s’aime s’aime s’aime s’aime
Comme ça consomme somme somme somme

-Tu étais formidable,
J' étais fort minable,
Nous étions formidables

-Serons-nous détestables? Serons-nous admirables? Des géniteurs ou des génies, Dites-nous qui donne naissance aux irresponsables,

-Je n'dis pas ce que je pense, mais je pense c'que je dis.Quand je vois c'que je vois, et ce que valent nos viesPas si surprenant, qu'on soit malpolis.Donc vas-y follow ma folie, m'a follow, follow me !


Voilà, que dire de plus : "Alors on danse" tadan, tadan, tadan......


Petit clin d'oeil: Un internaute s'est amusé à poser la musique de Prométheus le film de Ridley Scott sur le clip de Stromae "Papaoutai".....le résultat donne la chair de poule. Ca vaut le coup d'oeil ;)




Pentcheff Yvan


mardi 24 août 2010

Living rooms



Depuis quelques temps et un peu partout en France, pays des droits de l'homme, nous pouvons voir des scènes de destruction des biens et de démantèlements des camps où vivent les Roms. Ces gens du voyage, qui ont pour la majorité leurs papiers, sont pour la plupart des citoyens "européens" roumain ou bulgares qui vivent de manières précaires.

Suite aux tristes évènements de St Aignan de fin Juillet, notre président se lance dans une guerre ouverte contre les gens du voyage, faisant l'amalgame du même coup entre gitans, tsiganes et roms. Pour rappelle, un "gitan" avait été abattu par un gendarme au terme d'une course poursuite, visant à l'arrêter. Suite à ce déplorable incident, la gendarmerie et le village de St Aignan avait été pris pour cible par la communauté manouche du proche. Quelques jours plus tard, notre président mettait en garde les gens du voyage, leur notifiant qu'ils renverraient les fauteurs de troubles dans leur pays ou les destituerait de la nationalité française. Ainsi sous couvert d'une politique sécuritaire, nous en sommes arrivés à livrer une bataille sans merci à des citoyens européens dont les gouvernements respectifs se complaisent dans une politique de l'autruche qui semble s'apparenter à du lèche "bottisme". Ce qui nous mène à la situation de ces derniers jours, où fustiger par nos voisins européens, notre gouvernement procède quand même chaque semaine à l'expulsion de centaines de Roms sous prétexte "de troubles à l'ordre public".

La semaine dernière un tribunal de Lille a annulé quatre arrêtés de reconduite à la frontière pris par la préfecture du nord de Roms. Selon un arrêt de 2009, l'occupation illégale d'un terrain communal ou privé ne constitue pas "une menace à l'ordre public". Les Roms récemment renvoyés de France n'étaient pas fiché par la police Française ou Roumaine! Les motifs invoqués pour ces rapatriements posent donc problème. Le gouvernement prévoit donc à plus ou moins court terme de déposer une demande d'amendement visant à élargir les possibilités d'exclusions des Roms.








Bien sur, aujourd'hui, j'ai honte quand je vois les titres de la presse international: "L'expulsion des Roms met la France dans le sillage du populiste de l'Italie.... car il met l'état de droit au services des impératifs des leaders politiques et non pas de l'égalité et de la justice" (El Pais). Trouw estime, sans appel, que le renvoi des Roms "est tout à fait contraire au principe européen d'égalité". Pire encore, the independent parle de "formule xénophobe et simpliste" et souligne le fait que "les français se laisse regrettablement manipuler"!
Triste non? Pour le pays dont la devise reste liberté, égalité, fraternité! Notre président remet en question "un des principes de base de l'UE: le droit des citoyens européens de s'établir où ils l'entendent dans le territoire de l'Union" (le Standard autrichien). Pour résumer, Freitag, l'hebdomadaire allemand, dit :"Toute l'action de Sarkozy n'est qu'un bluff politique" visant "à augmenter ses chances d'être réelu en 2012", "un coup médiatique à effet boomerang"! Et pour refermer cette parenthèse humiliante, la presse Française n'est pas en reste affirmant que "l'image dégradée de la France de Sarkozy n'est pas qu'une image" (Libération). Chapeau!

Cependant, certains hommes de foi, ont démontré en hébergeant des familles entières de Roms que ces derniers n'étaient pas si "ingérables" que ça et qu'il suffisait parfois seulement d'apprendre à les connaitre un peu. Avec l'aide de ses paroissiens, il réussi à leur donner environ 15 euros par jour contre un travail, une aide. Si de petits groupe ainsi organisés arrivent à de tels résultats, pourquoi notre gouvernement ne pourrait pas y parvenir. Malheureusement le monde dans lequel nous évoluons à de moins en moins visage humain et les égoïstes que nous sommes, utilisons bien de manière bien trop radicale la politique du coup de pied au cul!

Alors, après les avis tranchés des journalistes, après les interventions du Vatican et des prêtres français, c'est au comité pour l'élimination de la discrimination raciale de l'ONU et au comité de l'union européenne d'épingler les agissements de nos dirigeants. Bien entendu la France, ne peut pas être l'Eldorado (si l'on peut la qualifier ainsi même si j'en doute) espéré par tant, mais il faudrait sans doute réfléchir à des solutions pérennes et à un colossal travail en amont plutôt que de se jeter à corps perdu dans une guerre qui ne nous ressemble pas. Alors même si ya de quoi faire hurler le singe hurleur que je suis, je vais plutot me contenter d'espérer que notre président soit pénétrer par les voix de la sagesse et attendre que les choses se calment. Car L'affaire Woert/Betancourt étant oubliés, il n'y a plus de raison de "déporter" autant de monde pour détourner le regard des journalistes!



mardi 1 juin 2010

On a retrouvé papi?


Il n'y a pas si longtemps de cela, nous assimilions l'homme de Néandertal à une sorte de brute épaisse n'ayant rien en commun avec nous ou nos ancêtres homos sapiens. Victimes de leurs corpulences robustes et massives, avec leur 90 kg et 1m65 de moyenne pour les mâles, ces êtres primitifs nous guident maintenant vers leurs véritables essences .
En effet, selon toute vraisemblance, ce "lointain" cousin n'avait pourtant rien de la brute dépeinte dans beaucoup de nos histoires: ces hommes enterraient leurs morts (les premières sépultures découvertes sont néandertaliennes), décoraient leurs grottes, ils vivaient au sein d'une structure familiale élargie, ils élaboraient des outillages complexes... Ces récentes découvertes nous amène donc à penser que l'homme de Néandertal n'était pas aussi proche de l'animalité, alors qu'au sein même de la communauté scientifique ils étaient étiquetés de cette réputation éhontée.
























Pendant plus de 200 000 ans, l'homme de Néandertal occupe l'Eurasie avant de disparaître pour on ne sait quelle raison, brusquement. Ici encore les avis divergent! En cherchant un peu vous pourrez trouver de tout dans ce débat qui reste ouvert aux discussions et controverses: Génocide orchestré par les homos sapiens, thèse d'adaptabilité climatique, aspiration de l'espèce par homo sapiens (accouplement entre ses deux espèces qui aurait peu à peu fait disparaitre leurs spécificité, car ses derniers étaient bien plus nombreux).... Cette dernière théorie prend d'ailleurs toute son importance aujourd'hui avec le décodage du génome néandertalien réalisé par les équipes du professeur Svante Pääbo, de l'institut Max-Planck en Allemagne.

Alors même si nous ne savons pas exactement comment l'homme de neandertal c'est éteint, nous savons depuis Mai 2010 que nous partageons une partie de notre patrimoine génétique avec lui, au alentour de 4%, en tout cas en ce qui concerne les eurasiens. Homo néanderthalensis et homo sapiens se seraient, selon Svante Pääbo, côtoyés au moyen-orient avant que le plus ancien disparaisse. On en est sûr, aujourd'hui, les deux espèces ont fait plus que se croiser et s'affronter. Des accouplements ont eu lieu, mêlant pour toujours leur histoire à la nôtre.

En comparant les séquences d'ADN de l'homme de Néandertal à celles d'un sud africain, d'un chinois, d'un français, un papou.... Svante a pu démontrer pour la première fois que certains d'entre nous descendent aussi de l'homme de Néandertal. Est-ce important? Certainement, si nous voulons savoir qui nous sommes! Alors j'accepte volontiers le fait de descendre de ce grand singe même si mon âme reste vraiment plus proche de celle d'un singe hurleur.




lundi 3 mai 2010

Spartiates! Quel est votre métier? Aouhhhhh Aouhhhh....





Après Stanley kubrick c'est au tour de Sam Raimi de s'attaquer au monument "Spartacus". En s'associant avec la chaîne américaine Starz, le réalisateur d'Evil dead et de Spiderman décide de produire en 2010 une nouvelle série basée sur le mythe sanglant du héros Thrace. Celui à qui l'ont doit notamment la production de la série Hercule et Xéna la guerrière (que du bon! Sauf pour ce que ça laisse présager bien entendu!), ne semble pas trop sortir des sentiers battus en se lançant dans la production de cette nouvelle série. Heureusement il n'en est rien! Hormis la thématique, Spartacus ne partage rien avec ses séries B produites par le passé. Ouf sauvé!




Ici la fange côtoie le sublime.


Mariage réussi du 300 de Zack Snider et du Gladiateur de Ridley scott, Spartacus ne lésine pas sur les moyens: Ici les plans choisis ne vous laisseront jamais de marbre. Vous prendrez une claque, quand le soleil se couchera sur l'enceinte de l'arène arrosant la peau de nos valeureux combattants, comme tout droit sortit d'un tableau de Géricault. Une claque, comme quand nous retrouvons notre héros thrace, joué par Andy Witfield, combattant dans les bas de fond de Capua, où chaque coups d'épées est prétexte au déversement de litres d'hémoglobine . Ici la fange et sublime se livre un combat sans merci pour arriver au final à une esthétique nouvelle qui sied parfaitement à la série, reflétant ce que devait être la société romaine antique.


Une chose est sure, Spartacus ne fait pas dans la demi-mesure, à tel point que je me demande si la série ne sera pas censuré lors de son arrivée en France.




Une réussite "indéniable":


En misant sur ce programme la petite chaine américaine Starz, savait dès le visionnage des premiers épisodes que la série serait un succès: Ils étaient tellement confiant en leur programme qu'ils ont, une fois n'est pas coutume, passés commande d'une deuxième saison avant même la diffusion du pilote. Au fil des semaines, d'épisodes en épisodes, Spartacus, blood and sand a su enthousiasmer les foules et pulvériser tous les records d'audience de la chaine. Mais voilà, la critique, ne manquant jamais l'occasion de comparer la série à "Rome", semble vouloir porter le coup de grâce à notre thrace: Trop kitch, trop naïf, trop "bourrin", trop pauvre "narrativement" parlant....le tout sous fond de scandale. Violence et sexe ne faisant pas souvent bon ménage!


Kill them all!


Titre du dernier épisode d'une première saison qui en compte treize, "Kill them all" pourrait servir de qualificatif à cette série où personnes n'est épargnés. Les protagonistes de la série tombent comme des mouches au fur et à mesure des épisodes. Si bien qu'on se demande qui va rester pour assurer la saison deux ? C'est d'ailleurs la question que se pose Starz, qui a appris au terme de la première saison qu'Andy Witfield alias Spartacus, à cause de sérieux problèmes de santé, ne pourrait attaquer le tournage de cette deuxième saison. En effet a à peine 36 ans, Andy apprend qu'il est atteint d'un cancer. Mal de notre époque et mais aussi mal pour Starz qui risque, à attendre la guérison de son "champion of Capua", que son soufflé retombe.



Pour finir, je ne saurais trop vous conseiller cette trop courte série qui je l'avoue m'a fait jubilé tout du long.
Avec son machisme exacerbé, ses combats estampillés "God of war", son esthétique léchée et picturale, ses acteurs inspirés....Spartacus blood and sand est selon moi une pure réussite qui vaut en tout cas le coup d'oeil.
Vous savez comment crie votre singe hurleur depuis peu? AOuhhhh Aouhhhhh Aouhhhhhh.......